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Hypatios 38M
9 posts
1/26/2016 10:43 pm

Last Read:
10/4/2020 2:28 pm

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Plusieurs de mes amies connues à l'adolescence sont devenues enseignantes au primaire ou au secondaire. J'ai perdu de vue la plupart d'entre elles quand elles se sont installées dans des bungalows et n'ont plus eu, pour seuls sujets de discussion, que leur pelouse, leur piscine hors-terre et des élèves qu'elles aiment et détestent toujours pour les mauvaises raisons.

Et alors que je m'entraînais, comme promis, à fantasmer sur une membre de A.F.F. pour essayer d'induire à mon esprit un rêve cochon l'impliquant (vous pouvez m'en faire la demande, mais les succès sont encore mitigés), voilà l'une d'elle qui fait apparition. Une femme début trentaine, cheveux raides, châtains-délavés, yeux bleus-délavés. Quelques mèches bleachées échappent à chignon tenu serré derrière sa tête. Elle est plutôt petite, menue, et des pattes d'oie marquent déjà le contour de ses yeux quand elle sourit. Elle a les lunettes carrées typiques des petites intellos mais il ne faut pas s'y tromper: ses préoccupations sont généralement terre-à-terre. Elle enseigne la troisième, peut-être quatrième année. Appelons-la Ariane.

Nous sortons d'un couvent de soeurs, sinistre et entouré de blocs de béton. Devant nous s'offre un paysage désolé: une gigantesque mine à ciel ouvert, dans laquelle des centaines d'hommes, à grands coups saccadés, arrachent à l'aide de pioches des morceaux de paroi rocheuse. Le soleil est sur le point de se coucher, la sueur est luisante et donne des tons orangés à la peau des hommes qui travaillent torse nu. Je jette un coup-d'oeil à Ariane. Ce soir ses cheveux ne sont pas raides. Ils ondulent et dansent. Ses yeux gris-bleus ne sont pas non plus délavés. Ils sont bleu vif.

Je ne sais pas ce qu'on est venu faire à Thetford Mines. Je m'en fous. Je cherche un endroit où on pourrait baiser: le passage au couvent fut tout sauf érogène. Elle repère une tente vide en premier et on s'y précipite gaiement. C'est un petit pavillon, une sorte de dispensaire. Parfait.

Aussitôt entrés, je la prends par la taille, je l'appuie contre le poteau central. Je l'embrasse avec fougue. Ma langue s'enfonce dans sa bouche tandis que mes mains se glissent entre sa peau et jean. Je tâte ses fesses à travers sa petite culotte. Ma main gauche remonte vers ventre, le caresse, et frôle sur sa poitrine. J'ai toujours voulu toucher et pétrir ses petits seins ronds: le fait d'avoir nié ce désir pendant plus de dix ans augmente d'autant plus l'excitation que je sens au moment où ma main se referme sur l'un d'eux. Ce contact l'enflamme: elle me repousse contre un lit de<b> camp </font></b>et s'installe à califourchon sur moi. Elle se penche, me mord ma lèvre, défait le bouton de mon pantalon. Mon érection est déjà visible à travers le tissu tendu. Elle descend mon froc, effleure de ses doigts l'étoffe de mon boxer. Je sens index et majeur aller et venir délicatement sur mon membre. Enfin elle le libère complètement et me jette un sourire narquois quand elle accueille dans sa paume la verge gonflée. Elle se relève, retire jean. Pour ce faire elle se cambre doucement et j'admire la courbure de dos et de ses fesses. Elle ne porte plus maintenant qu'un t-shirt moulant. Elle s'agenouille près de moi, sa tête s'approche de mon membre. Mon excitation rend l'érection presque douloureuse. La langue d'Ariane caresse et humecte doucement mon gland. Je frémis de plaisir quand ses lèvres le touchent. Elle me lance alors un nouveau regard coquin. Je devine que me sucer n'est pas exactement dans ses plans. Elle m'enfourche plutôt, frotte pubis contre le mien. Je soulève t-shirt. Elle l'enlève. Elle ne porte pas de soutien-gorge en-dessous. Elle est flambant nue. Mes mains caressent dos, ses flancs, ses bras, passent et repassent sur ses seins ronds comme des petits fruits. Je sens humidité de plus en plus insistante contre le bas de ma queue.

Elle lève le bassin, prend ma verge d'une main, s'empale doucement sur moi. Je me sens glisser en elle. Ariane manifeste plaisir avec un long soupir. Elle m'écrase contre le lit de camp, ses mains sur ma poitrine, et donne de lents coups de hanches. Sa chatte est douce, lisse et trempée de cyprine. Elle accélère. chignon se défait et ses cheveux tombent en cascade sur ses épaules. Elle ne peut s'empêcher de gémir. Elle se jette à mon cou et je sens la pointe dure de ses mamelons effleurer mon propre torse. Je la retiens par la taille pendant que ses mouvements prennent de l'ampleur. Une chaleur monte de mon bas-ventre, je me sens au bord de l'explosion. Brusquement, je l'arrête, la retourne. Elle me regarde, étonnée. Ses cheveux sont étendus pêle-mêle sur l'oreiller. J'écarte ses cuisses et enfonce vigoureusement ma verge en elle. Dès le premier coup de reins, elle a déjà commencé à pousser des hurlements de jouissance. Et soudain, je sens des spasmes traverser sa chatte, secouer corps. Ses ongles s'enfoncent dans mon dos pendant qu'elle jouit, mais je ne ressens aucune douleur; je suis moi aussi secoué par la décharge de l'orgasme.

C'est, j'espère, la dernière fois que je fantasmerai en rêve sur une prof de primaire.

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