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Appeler une chatte une chatte 2 (extrait de "Pasiphaé, Porn'Romance")  

Dayathink 54M
108 posts
5/3/2017 3:23 pm
Appeler une chatte une chatte 2 (extrait de "Pasiphaé, Porn'Romance")

« Alors, nos murmures de comploteurs cessèrent, nous fîmes silence, pris d'une étrange fièvre muette. Je vous revois, vous adossant au mur, plantée sur vos talons, écartant légèrement les cuisses, soulevant assez votre jupe pour que je puisse enfin accéder aux trésors que je n'avais, jusque-là, que devinés et convoités follement. La lumière d'un réverbère donnait par une fenêtre en arc-boutant et venait de manière complice se poser sur le nylon de vos jambes. Mes mains voulurent partir à la découverte de cette matière qui faisait de vous la reine de cette nuit de trouble, mais je me ravisai et laissai finalement mon visage s'approcher lentement, pour baiser du bout des lèvres vos chevilles et rendre ainsi hommage à la beauté d'un diable qui aurait semblé, soudain, paré de toutes les vertus. Je donnai quelques coups de langue sur le dessus de votre pied, puis, contournant le mollet, je partis en suivant la couture de votre bas rejoindre cet endroit magique, où la matière synthétique tranchait avec le blanc délicat de votre peau. Je sentis le frémissement de vos jambes, un tremblement d'excitation, comme une onde qui commençait à vous parcourir. Mes mains, trop longtemps empêchées, se posèrent sur vos cuisses et firent crisser doucement le nylon. Ce fut comme si une décharge me traversait l'échine. Je restai un instant suspendu, sans plus aucune notion du temps, les mains ainsi soudées par cet arc électrique à vos jambes fuselées, puis je les fis remonter doucement pour empaumer vos fesses et commençai à les palper doucement pendant que ma langue, venue se poser comme un oiseau sur votre nid, tournait et cherchait ses petits. Quel nid que ces quelques centimètres d'un triangle transparent et gris, lui aussi, qui laissait apercevoir vos lèvres renflées et glabres. Une petite tache de désir ayant déjà mouillé votre string je posai ma bouche dessus pour y mêler ma salive. Je vous ai bue, Madame, jusqu'à en perdre le sens, votre fine digue d'impudeur ne pouvant plus retenir vos émois. Vous avez coulée sur mes lèvres, alors que je glissai un doigt pour écarter l'étoffe légère et glisser, de concert, mon index dans votre petit puits et ma langue sur votre bouton luisant. Je commençai à vous travailler en douceur, mais de plus en plus intensément à chaque seconde écoulée. Après quelques instants, à la manière d'un fervent en prière au pied de idole, je portai mon regard vers votre visage, espérant y voir se confirmer ce que votre sexe disait déjà de votre désir.

À mon insu vous aviez déboutonné votre veste de tailleur et je vous vis les mains malaxant vos seins, pinçant vos bouts bruns, pointus et indécents de turgescence. Les yeux clos, vous étiez en vous-même, je ne saurai jamais où vous étiez partie, mais votre souffle semblait venir de loin, du temps profond du désir, de l'histoire des bêtes de sexe que nous sommes souvent. À cet instant, rompant votre retraite secrète, vous avez ouvert les yeux et, me plantant votre regard, vous m'avez dit : — Trouves-tu que je suis une belle femelle ?



L'écho de sa phrase claqua sur les murs de la salle, puis le silence se fit à nouveau. Je n'avais pas de mots pour dire l'émotion érotique qu'elle avait provoquée en moi. Je me relevai, restai un instant immobile puis, sans la quitter des yeux, je défis un à un les boutons de mon jean, le fis glisser ainsi que mon boxer sur mes cuisses et, debout dans la cathédrale de notre union charnelle, je lui montrai la preuve de sa toute beauté ; ma queue, dure, tendue, noueuse, perlant des larmes de désir. Elle posa regard dessus, s'écarta du mur, et tout en venant glisser sa langue entre mes lèvres elle referma délicatement ses doigts sur mon membre. — Tu sens ma chatte, tu en as partout sur le museau. J'aime ça, marquer mon territoire, me dit-elle entre deux baisers et, tandis que nos langues se nouaient et se dénouaient, sa main partit recueillir un peu de mouille au creux de ses cuisses qu'elle mélangea à la mienne pour commencer à me branler doucement, puis de plus en plus fort, dans l'onctueux bruit de nos liqueurs mêlées. Je me mis à doigter sa vulve dilatée et tout à coup, comme devenu fou, dans une supplique salace, je lui lâchai à l'oreille : — Tu me mets le chibre en feu. Branle moi bien, oui, fais moi durcir, perler encore, j'aime couler sur tes doigts, j'ai envie de t'en mettre sur les seins, sur les fesses, de t'en remplir la bouche. Dans un petit rire, elle répondit : — Je suis à ton service mon beau mâle en rut, et aussitôt elle s'agenouilla, enfournant mon sexe dans sa bouche pour le sucer de la manière la plus goulue qui soit. Elle donnait des coups de langue, faisait des tours sur mon gland, mais surtout elle m'avalait, me pompait littéralement, elle l'enfonçait presque au fond de sa gorge dans une succion quasiment pornographique. Elle marqua une pause et me dit : — Je me demandais comment était ta bite, lorsque tu me matais dans le café. Et oui, nous aussi on a des pensées de cul. Hum, elle est grosse et longue, mais je vais te la prendre entièrement, ne t'en fais pas. Je vais m'occuper aussi de tes grosses boules, elles doivent en contenir du jus d'homme.
Ces mots, si crus dans la bouche de cette femme, en plus de ma queue devenue énorme tellement la fellation était provocante, me mirent en transe. — Tu n'es pas qu'une belle femelle, ouais, tu es aussi une petite chienne qui aime pomper ma grosse gaule, je vais te défoncer le cul.

Pas de préservatif, imprudence totale, mais nous avions suffisamment parlé pour que je sente au fond de moi que je n’avais rien à craindre, de même que je lui avais dit la grande abstinence qui avait été la mienne ces mois derniers, depuis une amante dont je connaissais bien la vie. Le risque n’était pas zéro, mais nous nous inspirions déjà une confiance qui, ne s’expliquant pas, s’imposait à nous comme une évidence. Je ne l’aurais pas fait avec toutes les<b> femmes.

</font></b>Je la relevai, la poussai à plat ventre sur un tas de sacs de ciment, relevai sa jupe, écartai string et, après avoir fait glisser quelques fois mon gland sur ses lèvres inondées, je la pénétrai d'un coup vif qui lui fit pousser un han de surprise et de plaisir.
La tenant par un sein, mon autre main crochée sur sa cuisse, entre le bas et la chair, je la faisais aller et venir, me régalais de voir ses lèvres s'enrouler autour de ma hampe, comme aspirées, à chaque fois que celle-ci ressortait pour replonger aussitôt, toute luisante, dans sa chatte. Je la prenais à fond, donnant des coups de reins, alternant des mouvements de rotation, je la secouais totalement, elle s'agitait sur ma bite comme une furie, je la sentais ruisseler sur mes couilles, elle poussait de véritables cris de bête qui devaient résonner dans les ruelles du quartier. Mais je n'en avais pas fini avec elle, car tout en la prenant ainsi, j'avais une vue directe sur sa petite étoile, petit trou du cul brun, plissé, un peu ouvert, et cela je ne pu y résister. Je fis tourner le bout de mon pouce trempé et l'introduisis doucement tout en continuant à travailler sexe avec ma queue. Elle s'arc-bouta, et à mon étonnement ravi, elle porta les mains à ses fesses pour les écarter et faciliter mon ouvrage. Assuré par geste je fis totalement entrer mon pouce dans anus et commençai des petits va et vient, des petits tours pour la dilater un peu plus.
— Traîne pas, j'aime ça, viens, encule-moi ! Mais putain, qu'est-ce que tu attends, bourre-moi le fion ! Elle avait perdu, elle aussi, le contrôle. Cette femme était vraiment hallucinante de spontanéité sexuelle. Passée la posture que la bienséance, le vivre en société, lui imposaient, une fois la fièvre charnelle déclenchée, elle devenait une véritable folle de sexe, n'hésitant pas à user des mots les plus vulgaires pour exprimer désir et plaisir. Je la comprenais car j'étais comme elle. Moi, si mesuré verbalement dans la vie de tous les jours, j'avais ce même besoin de laisser les mots crus crier ma bestialité et mes envies de mâle. Elle avait dû sentir, je ne sais comment – le sixième sens féminin sans doute –, lorsque j'étais agenouillé et occupé à la lécher, qu'elle pouvait doucement ouvrir les vannes et me tester avec sa façon de me demander si elle était une belle femelle. Ce terme avait mis le feu à nos poudres et c'est elle qui avait craqué l'allumette sur le terrain déjà inflammable de ses jambes de nylon gris.

Elle se laissa aller à terre m’entraînant avec elle, ma queue toujours fichée dans ventre, elle inclina sa poitrine vers le sol, se cambra, et encore une fois elle écarta de ses doigts sa jolie raie pour me présenter œillet. Je sortis mon sexe de sa fente, le positionnant devant petit trou, le lui enfonçai doucement, et me mis à la sodomiser. Elle glissa une main entre ses cuisses et vint la poser sur mes couilles pour me les caresser pendant que je sentais anus m'enserrer et m'engloutir.



Je me perdis littéralement en vous, comme un nageur imprudent emporté par une baïne. Vous avez joui dans une plainte, prenant ma main, en la serrant si fort, pour vous empêcher, sans doute, d'être emportée dans les profondeurs de notre folie ; pour ma part je pense n'en être jamais vraiment revenu. Sentant mon sexe au bord de l'explosion vous m'avez murmuré : — Non, pas en moi ! Je me retirai aussitôt et, sur vos fesses, je laissai échapper l'écume de cette petite mort qu'on appelle l'extase.
Ainsi c'était bien vrai, vous aimiez ce plaisir inversé et vous ne m'y aviez pas invité par bravade. Vous gisiez là, presque anéantie, mais si calme, votre soif de vivre apaisée. Plus rien tout à coup ne demeurait de ce champ de bataille, de nos appels de bêtes, de nos provocations de barbares amoureux, un souffle, il n'en restait qu'un souffle ; le vôtre au mien mêlé. Vous sentant frissonner, je vous pris dans mes bras, vous relevai et vous couvris de ma veste. Nous restâmes ainsi enlacés, soudés, un temps que je ne mesurai pas. Nous nous rajustâmes, fîmes un brin de toilette, mais il y avait une tâche sur l'un de vos bas, je vous avais marquée, vous la plus belle des femelles, cela me fit sourire.

Un peu après nous quittâmes notre hôtel de hasard et reprîmes notre marche dans les rues de la ville, enlacés, silencieux, attentifs, emplis d'une légèreté sereine. »




REDMAMBA5 67M  
13731 posts
5/5/2017 11:25 pm

Comme d'hab dès que j'ai une minute!

Didier.

MIEUX VAUT ETRE BOURRE QUE CON......CA DURE MOINS LONGTEMPS!!!!!!!


Dayathink 54M
442 posts
5/5/2017 2:49 pm

    Quoting  :

Merci chère Gribouille, c'est un plaisir de vous faire plaisir


Dayathink 54M
442 posts
5/4/2017 12:38 am

    Quoting  :

Ravi NewSexbear que tu sois sensible à cet écrit, pour ce qui est du roman, je viens, il y a quelques jours, d'en envoyer le manuscrit chez deux éditeurs (Musardine et Tabou éditions), il n'y a pas beaucoup de maisons qui peuvent publier des textes aussi "explicites", les éditions Blanches ne se portent pas très bien je crois, alors je cherche, si des noms te viennent, n'hésite pas Sinon ce sera un bon vieux compte d'auteur


Dayathink 54M
442 posts
5/4/2017 12:34 am

    Quoting Annie_34:
    Bonjour Dayathink
    C'est toujours agréable à lire
    ♥ Poton ♥ Bisou ♥ Annie ♥

Merci Annie, oui cela doit te rappeler le temps, pas si lointain, où tu suivais les aventures de Liane et Alex Bisous


Dayathink 54M
442 posts
5/4/2017 12:32 am

Merci chère Red Hood, vous me comblez


Annie_34 65T
5945 posts
5/3/2017 11:14 pm

Bonjour Dayathink
C'est toujours agréable à lire
♥ Poton ♥ Bisou ♥ Annie ♥


Notre vie est un voyage-♦-Dans l'hiver et dans la nuit
Nous cherchons notre passage-♦-Dans le ciel où rien ne luit .

Pour laisser un message cliquer ici Boite aux lettres secrete Annie
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Red_Hood 68F
309 posts
5/3/2017 9:52 pm

alors là, j'en veux.


Dayathink 54M
442 posts
5/3/2017 3:27 pm

Une chatte une chatte, 2 extrait de "Pasiphaé, Porn'Romance"


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